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La situation, critère clé pour estimer le prix d’une maison
En matière d’immobilier, s’il y a bien un élément déterminant pour estimer le prix d’une maison, c’est sans nul doute sa situation. C’est d’ailleurs pour cela qu’une maison identique située en plein cœur de Genève, en pleine campagne dans le canton du Jura ou encore sur les rives du Lac Léman ne vaut pas du tout le même prix.
Aussi, si ce critère est de loin le plus important quant à l’estimation de la valeur d’un produit immobilier, nous allons toutefois nous intéresser aux autres éléments qui peuvent avoir une influence, à la hausse comme à la baisse, sur le prix d’un bien. Et ils sont nombreux…
5 critères à ne pas négliger pour estimer le prix d’une maison
Afin de vous aider à estimer le prix d’une maison, nous avons retenu 5 critères qui ont un véritable impact sur la valeur d’un bien :
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La surface de terrain. Diverses études montrent que la superficie du terrain doit être en accord avec la surface du logement. Autrement dit, un petit terrain ne favorisera pas la vente d’une grande maison et vice-versa. Selon les experts, une maison de 150m2 habitables agrémentée d’un terrain d’environ 500 à 600m2 serait un bon équilibre. Une parcelle de terrain plus petite pourrait nuire à la vente alors qu’une parcelle plus grande ne tirerait pas nécessairement le prix de vente à la hausse. Tout est donc question de justes proportions…
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Le vis-à-vis. Lorsqu’un ménage acquiert une maison, il recherche souvent la tranquillité qu’un appartement ne lui offrait pas nécessairement. Aussi, l’absence de vis-à-vis est essentielle pour de nombreux acheteurs. Elle est donc un « petit luxe » qui se paie et qui peut entraîner une hausse de prix assez importante par rapport à un bien identique mais dont le jardin pourrait être admiré par les voisins
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La surface habitable. De nombreux vendeurs, à juste titre, fixent leur prix de vente sur la base de la surface de leur maison. Seulement voilà, ce qui va intéresser les acheteurs est la surface habitable et non la surface au sol. Veillez donc bien à baser votre tarif sur celle-ci. Si tel n’est pas le cas, il y a de fortes chances que les acquéreurs soient déçus en découvrant votre maison et la trouvent trop petite par rapport au prix auquel elle est affichée
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La qualité du gros œuvre. Il va de soit qu’une maison en parfait état ne vaut pas le même prix qu’une maison en mauvais état. En effet, des travaux de réfection des revêtements ou de la toiture ou des travaux de rénovation ont un coût important. Aussi, un gros œuvre de mauvaise qualité peut faire fuir les acheteurs ou alors les inciter à négocier considérablement le prix du bien immobilier. Il est à noter que cette tendance ne se vérifie guère sur le marché des biens d’exception, le coût des éventuels travaux n’étant pas un véritable problème pour une clientèle huppée
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Les performances énergétiques du bien. Un nombre croissant d’acheteurs entend réaliser des économies d’énergie dans sa future maison. Aussi, des performances énergétiques médiocres voire même moyennes peuvent être un véritable frein à l’achat ou peuvent donner lieu à une importante négociation du prix (équivalente au montant des travaux à réaliser pour réduire la consommation énergétique du bâtiment). Une maison économe (en savoir plus sur les maisons écologiques disposant du label Minergie) en énergie disposera en revanche d’un véritable atout qui pourra justifier un prix jusqu’à 5% aux biens équivalents mais plus énergivores.
Ces quelques critères peuvent donc avoir un véritable impact au moment d’estimer le prix d’une maison et ils doivent être pris en compte au moment de comparer votre bien aux autres produits disponibles sur le marché.